Si le trésor de l’église de Brageac tel qu’il s’offre aujourd’hui au visiteur, ne manque pas d’intérêt, son histoire nous apprend qu’il a souffert au fil des siècles de la perte de plusieurs pièces notables disparues dans des circonstances obscures – ou parfaitement connues – qui sont l’objet principal de cette brève communication.

Les Archivistes du Cantal, en cataloguant les rapports d’experts du tribunal de Mauriac, ont trouvé des documents du début du XXe siècle qui n’ont pas manqué de les faire sourire : il s’agit de lettres anonymes, parfaitement délirantes et pleines de haine à l’égard des destinataires, notables pleaudiens, qui avaient déposé plainte et obtenu jugement.