RAYMOND MIL EXPOSITION
« LA MARONNE HIER ET AUJOURD’HUI »
PLEAUX 27 Juillet-15 août 2018
Organisée par
« Les Amis de la Xaintrie Cantalienne »
RAYMOND MIALARET
Peintre de l’éphémère
Neveu de Louis Capitaine peintre réputé avec lequel il fonda la Société artistique du Cantal. Raymond Mil peint généralement à l’huile, sur toile, sur panneaux de bois mais aussi sur cartons toilés, voire sur des panneaux publicitaires ou des tôles qu’il recyclait. On sent que le besoin de s’exprimer est urgent et que lorsque les bruyères ou les genêts sont en fleurs, il ne peut attendre .C’est un peintre plus pressé qu’il n’y paraît d’abord. Il se hâte de fixer le souvenir des dernières chaumières, des villages que le barrage va engloutir, de la neige qui ne tiendra guère, des flamboiements de l’automne qu’un coup de vent peut éteindre d’un instant à l’autre. C’est un peintre du fugace. D’ailleurs ne collectionnait-il pas les papillons, ces symboles de l’éphémère ? Comme il les chante dans ses poèmes, il saisit sur ses toiles les heures du petit matin, les méridiennes du plein été, les nostalgiques vespérales.
Pierre Chaumeil avait gardé de l’époque où il prenait des cours de dessins une boîte de pastels secs qu’il avait délaissée. Il l’offrit à Raymond Mil qui désormais « peignit » aussi bien aux pastels qu’à l’huile. Maryse Ducaire devait lui offrir une autre boîte contenant des teintes plus douces, plus particulièrement destinée aux portraits. Il utilisait l’une ou l’autre boîte suivant les couleurs et les nuances désirées. Il pratique aussi le dessin à la plume. Il exécute de remarquables caricatures, parfois pendant les audiences du tribunal. Ces dessins illustreront ses articles de presse. Il orne souvent sa correspondance d’une vive esquisse, d’un croquis d’une menette, de l’appariteur du petit séminaire ou d’un « couare » à la foire. Pour ses tableaux, ses sujets de prédilection sont les paysages des environs immédiats (il se déplaçait à pied ou à bicyclette), qu’il peignait sur le motif. Si on trouve plusieurs versions des mêmes « coins », c’est que les amis et amateurs, lui commandaient qui « un Pont des Estourocs » qui des « Genêts en fleurs »ou une « Fontaine du Bournat ».
Son œuvre peinte évoque pour nous les cadrans solaires et les almanachs où l’on voit passer les saisons.
Peintre du temps, du temps qu’il fait ( principal sujet des conversations de la place de Pléaux) - et du temps qui passe dans un paysage paraissant immobile et immuable. Mais avec le recul, nous voyons, grâce à lui que tout, insensiblement a changé.
S’il en avait l’occasion, peut être Monsieur Mialaret dirait il de la présente évocation de son œuvre, ce qu’ il écrivait dans Sonnailles, à propos des pages des éphémérides :
Ces images…
Seront « couleur du temps », elles nous seront chères,
Portant l’odeur des bois, des humides fougères,
Des sarrasins fleuris et du chaud serpolet.
On peut aussi signaler Raymond Mil sculpteur. Dans la lignée des poésies où les éléments du quotidien l’inspiraient dans ses réflexions, il lui arrivait de discerner la forme d’un oiseau ou d’une chimère dans un simple bout de bois rencontré au bord du sentier. Comme une abeille faisant son miel d’une fleurette, il dégageait au couteau de la forme brute la sculpture qui y était cachée et qu’il avait su y deviner.
Roland Sabatier
LA MARONNE
« Salve Matrona »
A l’origine…
A l’origine est le verbe, le nom ou les noms…L’étymologie classique laisse entendre que Maronne viendrait de mar ou maro , grand en langue celtique et ona, radical indo- européen signifiant cours d’eau. La « grande rivière » donc ; étymologie gratifiante que conteste pourtant Raymond Mil en avançant une autre thèse, moins prosaïque. Pour le poète en effet, le nom de la Maronne, comme celui de la Marne , rappellerait les Matrones, divinités romaines comparables à des fées ce qui lui fait dire dans nombre de ses écrits, que la Maronne serait tout simplement la « rivière fée ». Sans trancher entre ces deux thèses, force est de reconnaitre que l’une comme l’autre donne à notre rivière un certain cachet qui la distingue de l’ordinaire des cours d’eau.
En fait, au-delà des querelles étymologiques, c’est le terme Maronne, lui-même, qui peut faire problème puisque d’autres noms furent couramment utilisés aux siècles passés pour désigner la même rivière. Ainsi, prenant probablement la partie pour le tout, la plupart des cartes anciennes de la région (Blaeu, Mariette, Clerville , Jaillot etc. ) désignent la Maronne sous le nom de rivière d’Estourocs, d’ Estorrotz ou d’Estarreau . D’autres textes plus récents parlent de l’Etze ou de l’Eyge dérivé du terme générique désignant l’eau en langue d’oc.
L’éventail des noms s’élargit encore si l’on considère le réseau serré de ses principaux affluents : Aspre , Etze , Incon , ruisseaux de Saint Rouffy, des Esclots, du Cayrou, de l’ Aubos ; Rieutord ; Ganne de Malesse ; Bedaine et Gourdaloup sans parler des affluents secondaires comme l’Escladines, le Saldeuze ou Inchou etc., autant d’hydronymes dont l’origine reste souvent mystérieuse.
Au fil de l’eau
La Maronne prend sa source à 1 430 mètres d’altitude dans le département du Cantal, sur les pentes septentrionales du roc des Ombres dans la commune de Saint-- Paul de Salers où se succèdent rapides et cascades. Assagie, elle traverse le bourg de Saint - Martin Valmeroux, arrose les communes de Sainte - Eulalie, Besse, St Martin – Cantalès, Arnac et Pleaux puis sert de limite entre Cantal et Corrèze à partir du pont des Estourocs. Depuis Sainte - Eulalie jusqu’à Argentat, la Maronne s’écoule dans des gorges sauvages dont la profondeur varie de cent à deux cents mètres . Ces gorges, entrecoupées par les hautes murailles de trois barrages et les vastes plans d’eau de leurs retenues, se prolongent en Corrèze où la Maronne traverse les communes de Saint – Julien – aux - Bois, St Cirgues – la- loutre, Saint - Geniez Ô Merle, Goulles, Saint - Bonnet – les – Tours, Sexcles, Hautefage, Mercœur, La Chapelle – Saint – Géraud, pour se jeter dans la Dordogne à Argentat.
Le cours de la Maronne d’une longueur approximative de 100 kilomètres, a un bassin versant de l’ordre de 825 kilomètres carrés. Son débit, très irrégulier, est caractéristique des rivières du massif central au régime nivo-pluvial ; il évolue de 20 à 33 m3/s au moment des crues d’hiver- printemps ( novembre à mai ) à 5 m3/s au mois d’août, ces chiffres n’étant que des moyennes susceptibles d’importantes fluctuations . C’est ainsi que le débit maximal enregistré à la station d’Argentat le 11 décembre 1940 a été de près de 400 m3/s !
La Maronne est souvent désignée comme le paradis des pêcheurs, offrant un milieu idéal pour la truite fario mais aussi le chabot, le chevesne, le goujon et le vairon…Plus
généralement la vallée abrite plusieurs zones d’intérêt écologique majeur pour la faune comme pour la flore. On y trouve, entre autres, des loutres communes et plusieurs espèces de rapaces comme le hibou grand-duc et le circaète Jean – le – Blanc. Quant à la flore, répertoriée en son temps par les botanistes du Petit séminaire de Pleaux, elle offre un riche éventail de spécimens plus ou moins rares, allant des plantes alpines aux espèces méridionales apportées par le grand souffle aquitain remontant la Dordogne.
Au fil de l’histoire
A la fois lieu de passage et refuge, la vallée de la Maronne a été marquée par l’histoire depuis l’aube des temps. Retraite recherchée par les premiers ermites tel le poitevin
Bertrand de Griffeuille, elle a vu se dérouler sur ses marges en 1944, pour les mêmes motifs de discrétion, le plus grand parachutage d’armes de la seconde Guerre mondiale. Voie de pénétration à protéger et à exploiter, ses pentes sont jalonnées de nombreuses demeures seigneuriales : certaines encore bien vivantes comme les manoirs de La Pierre, de Palmont, ou de St Pol ; d’autres à demi – ruinées comme le château de Branzac, naguère encore orné des curieuses fresques voulues par sa châtelaine napolitaine ou comme les tours martiales de Laval au confluent du Rieutord ou bien encore celles de Carbonnières au confluent de la Bedaine ; d’autres enfin, complétement ruinées, ne laissant entrevoir, parmi les ronces, que quelques pierres éparses comme Crèvecœur, Plaignes, Saint – Christophe - bas ou Pouls, victimes des guerres anglaises, des guerres religieuses ou de l’incurie ordinaire.Intercalés dans cette suite de sites plus ou moins guerriers, les oratoires y furent presqu’aussi nombreux : modestes prieurés aujourd’hui effacés, dépendant de prestigieuses abbayes comme Ambials ( St Géraud d’Aurillac), St Julien d’Espont ( La Chaise - Dieu) et les Estourocs (La Couronne d’ Angoulême) ou vieilles chapelles, encore objet de pieux pèlerinages, comme Enchanet, la miraculeuse, honorée par le grand Massillon, ou Saint – Pierre (anciennement Saint - Santin) abritant une croix processionnelle unique dans tout le monde chrétien.
Mais les deux joyaux de la vallée restent sans conteste le site de Notre - Dame – du – château et celui des tours de Merle. Chapelle castrale du château - bas de Saint - Christophe qui appartint à Catherine de Médicis, Notre- Dame – du - château fut l’un des premiers sites naturels à être protégé par la loi pionnière du 2 mai 1930. Quant à l’imposante citadelle de Merle et ses tours patrimoniales où cohabitait la fine fleur de la noblesse arverno-limousine ( Carbonnières, Pestels, Veilhan, Vayrac, Confolenc, Noailles), elle surgit au détour d’une boucle de la rivière, avec toute la majesté onirique d’une gravure de Gustave Doré.
A la force du courant
Aux temps anciens, l’énergie déployée par le cours rapide de la rivière fut employée à diverses fins et notamment au flottage des bois de chêne ou de châtaigner venus de ses pentes escarpées, pour les diriger vers Argentat et , de là, vers le vignoble bordelais où ils servaient à confectionner des piquets et des tonneaux. A côté de cet usage particulier, comme partout ailleurs, le flux puissant de la rivière entrainait les roues des innombrables moulins à grains ou des « moulins – usines » qui jalonnaient sa vallée et celles de ses affluents (Plaignes, Crozat, Le Foulon, La Carderie etc.)
Depuis la deuxième guerre mondiale, le cours impétueux de la rivière a été brisé en trois endroits pour servir à la production d’électricité. Le barrage d’Enchanet construit de 1946 à 1951 est un barrage à voute mince, inclinée vers l’aval, dite en coquille d’œuf . Cette forme inhabituelle à la qualification un peu inquiétante, permettait d’économiser le béton. La mise en eau du barrage vit la disparition de deux villages : Espont et Rodemont - Bas. Le deuxième
barrage dit du Gour Noir, construit pendant la guerre est aussi constitué d’une voute mince de 40m de hauteur et de 120m de longueur de crête qui reçoit par dérivation les eaux de la Gane de Malesse et du Gourdaloup. Enfin le barrage d’Hautefage, terminé en 1958 affecte aussi la forme d’une voute mince inclinée vers l’aval, de 54m de hauteur.
Même si son profil a été profondément remodelé par les colossales parenthèses de béton des barrages, la Maronne reste l’un des plus beaux visages de la Xaintrie dont elle est inséparable. Cette dimension emblématique de la « rivière fée » est présente tout au long de son cours mais elle est plus prégnante en certains lieux où se croisent tous les fils qui constituent la trame de l’ identité xaintrienne. L’un de ces lieux privilégiés est sans conteste « Les Estourocs » et Raymond Mil ne s’y est pas trompé qui les a chantés, peints et dessinés maintes fois, sous tous les angles et en toutes saisons, comme fasciné par quelque genius loci.
Moi, pont des Estourocs , je me croyais sans rival
Pour mon histoire où tant de mystères se mêlent ;
Deux provinces au fond de mon sonore val
Affrontent mes arches jumelles ;
J’en ai tant vu passer, bucherons , merraindiers,
Chasseurs de sangliers , de loups, pêcheurs de truites
Par ma route sylvestre et mes abrupts sentiers
Vers mes piles bientôt détruites.
Quels récits de brigands et de contrebandiers,
Aux berçantes rumeurs de la « rivière fée »
Du temps de la patache, auprès de tes landiers,
Auberge à mon angle rivée.
Raymond Mil
Brandes et serpolets (1961)
S’il est incontestablement le plus grand, Raymond Mil n’est pas le seul à avoir succombé à l’enchantement du val. La Maronne, comme toutes les rivières bien nées, a partagé sa gloire entre ses deux rives. A La rive droite appartient aux côtés de Raymond Mil, un autre Raymond – Raymond Cortat – qui a chanté les malheurs de Camille Caraccioli , la belle napolitaine, châtelaine de Branzac aux temps des Valois, où elle se mourrait d’ennui dans un décor de fresques funèbres.
La diversité des goûts étant un des traits les plus constants de la nature humaine, les gorges sauvages et austères de la Maronne, dure terre d’exil pour la belle comtesse italienne, se trouvaient être trois siècles plus tard, l’unique objet des pensées nostalgiques d’un petit pâtre d’Arnac – sur la rive gauche - exilé comme beaucoup de ses compatriotes dans les froides provinces bataves.
Revenu au pays, Etienne Mercenac célébra à son tour la vallée magique dans des vers émouvants auxquels une nef fantasque donne un tour vaguement rimbaldien :
J’ai rêvé d’un bateau fait à coups de cognée
Que n’activerait point la fougueuse vapeur
Mais bien le flot courant vers la rive éloignée
Ou la rame plongeant dans le gouffre trompeur
Pour voguer lentement sur ma chère Maronne
Des gorges d’Enchanet au pont des Estourocs
Quand l’ouragan fait choir l’or fauve de l’automne
Des bois échevelés sur les pentes des rocs.
Etienne Marcenac
A l’ombre des bouleaux
JKN
EXPOSITION RAYMOND MIL
PLEAUX 27 JUILLET - 15 AOUT 2018
« La Maronne hier et aujourd’hui »
LISTE DES TABLEAUX EXPOSES
LA VALLEE PRINCIPALE
1 | « Salve Matrona » pastel |
2 | Haute vallée de la Maronne, Le Fau huile sur toile (32 X 22 ) |
3 | Le roc des ombres pastel [La Maronne prend sa source au pied du roc des ombres] |
4 | Le vallon de Freydevialle huile sur bois (25 X 21) |
5 | Haute vallée de la Maronne, col de Néronne huile sur toile (32 X 23) |
6 | La Maronne la pescière de Rodemont huile sur bois (32 X 23) [Une pescière était un plan d’eau aménagé en pêcherie] |
7 | Le rocher du moulin de Crozat huile sur toile (32 X 23) |
8 | La Maronne la pescière de Rodemont huile sur bois (20 X 13) |
9 | La Maronne Sous Salesse huile sur bois (37 X 25) |
10 | La Maronne Près de Savalaure huile sur bois (35 X 27) |
11 | La Maronne (lieu indéterminé) huile sur bois (20 X 13) |
LES AFFLUENTS
12 | L’Incon « Le moulin du Foulon » Huile sur bois (23 X 17) |
13 | Le Rieutord « Les oules » Huile sur bois (25 X 20) |
14 | « Le Rieutord » (lieu indéterminé) Huile sur bois (18 X 23) |
15 | « Le Rieutord » (lieu indéterminé) Huile sur bois (25 X 20) |
16 | Cascades d’Enchanet Huile sur bois 16 X 26 [Cette succession de trois cascades sur le Saldeuze ( ou Inchou,) un affluent de l’Incon, appelées parfois « cataractes » d’Enchanet était autrefois un lieu de promenade très prisé des Pleaudiens et des touristes ; elles sont aujourd’hui pratiquement inaccessibles] |
17 | Gué sur l’Incon » huile sur bois (16 X 18) |
18 | L’Incon vers le Foulon huile sur bois (22 X 16) |
19 | L’Incon sous Barriac huile sur bois ( 22 X 16) |
20 | Le gour noir huile sur bois (21 X 26) |
21 | Le Rieutord (lieu indéterminé) Huile sur bois (19 X 25) |
22 | L’Escladine (lieu indéterminé) huile sur bois (21 X 12) |
PASTELS
23 | La Maronne : presqu’ile de La Gineste Pastel (35 X 23) |
24 | La Maronne : sous la chapelle de St Christophe Pastel (32 X 27) |
25 | La Maronne (lieu indéterminé) Pastel (32 X 40) |
26 | La Maronne (lieu indéterminé) Pastel (27 X 21) |
27 | La Maronne (lieu indéterminé) Pastel (18 X 23) |
28 | La Maronne : sous Saint-Rouffy Pastel (27 X 34) |
LES PONTS
29 | Le pont des Estourocs huile sur toile (26 X 21) |
30 | Le pont Blanchard huile sur toile (25 X17) [On aperçoit en bas à droite le confluent avec le ruisseau des Moulergues] |
31 | Le pont du Foulon huile sur bois (26 X 20) |
32 | La passerelle sous Saint - Christophe huile sur bois (24 X 18) |
33 | Planche sur l’incon huile sur bois (24 X 13) [Cette « planche » se situe en amont du pont Blanchard] |
LES SITES
34 | Château de Branzac » huile sur bois (25 X 20) |
35 | Saint – Christophe « Chapelle du rocher » huile sur bois (40 X 32) |
36 | Tours de Merle huile sur carton (40 X 32) |
37 | Château de Branzac huile sur bois (26 X 20) |
LES ESTOUROCS
38 | Pont des Estourocs Huile sur toile (45 X 36) |
39 | Pont des Estourocs Huile sur tôle (50 X 37) |
40 | Pont des Estourocs Huile sur bois (34 X 25) |
41 | Sous Saint Rouffy Huile sur bois (25 X 20) |
42 | En aval du pont des Estourocs pastel (20 X 17) |
43 | Mare sous Laval huile sur bois (32 X 48) |
44 | Pont des Estourocs huile sur bois (33 X 22) |
VILLAGES ENGLOUTIS
45 | Le lac d’Enchanet Huile sur toile (35 X 25) |
46 | La passerelle de Rodemont huile sur bois (18 X 23) |
47 | Rodemont - Bas avant la mise en eau du barrage huile sur bois (26 X 18) [Les propriétaires récupèrent la volige et les lauzes du toit avant l’engloutissent prochain de la maison] |
48 | Portrait de Raymond Mil par Maryse Ducaire |
VITRINES
VITRINE A Raymond Mil, secrétaire de la « Société Artistique du Cantal »
VITRINE B Raymond Mil, peintre et poète
VITRINE C Les cascades d’Enchanet
VITRINE D Les barrages
VITRINE E Les grands sites de la Maronne
VITRINE F Les Estourocs
VITRINE G Les villages engloutis